Auteur : Paul Cleave
nb de pages : 476
Série : Unique
Catégorie :Policier
Résumé officiel ou personnel
Christchurch, Nouvelle-Zélande. Joe Middleton contrôle les moindres aspects de son existence. Célibataire, aux petits soins pour sa mère, il travaille comme homme de ménage au commissariat central de la ville. Ce qui lui permet d'être au fait des enquêtes criminelles en cours. En particulier celle relative au Boucher de Christchurch, un serial killer sanguinaire accusé d'avoir tué sept femmes dans des conditions atroces. Même si les modes opératoires sont semblables, Joe sait qu'une de ces femmes n'a pas été tuée par le Boucher de Christchurch. Il en est même certain, pour la simple raison qu'il est le Boucher de Christchurch.
Contrarié par ce coup du sort, Joe décide de mener sa propre enquête afin de démasquer lui-même le plagiaire. Et, pourquoi pas, de lui faire endosser la responsabilité des autres meurtres.
Un serial killer mène l'enquête.
Mon avis
J'ai failli m'arrêter au 1er chapitre ! Brrrr froid dans le dos et légère nausée ... Et puis -et c'est là je crois le talent de l'auteur- l'envie d'en savoir d'avantage m'a poussée à continuer. Dès lors je n'ai plus laché ce bouquin. Le style est direct, souvent plein d'humour -noir, il est vrai- . Le personnage de Joe semble sorti de "Psychose" "Seven" et "Le silence des agneaux" réunis mais avec une touche moderne et parfois plus "humaine". Bref un très bon polar bien qu'il n'y ait pas à proprement parlé d'enquête policière soutenue. Par contre, à ne pas mettre entre toutes les mains et âmes sensibles s'abstenir.
Une suite peut-être ?
N° 5 dans le challenge ABC 2012
Ma notation
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B : bon tout simplement
B : bon tout simplement
Il me tentait bien celui là aussi! Je crois que je prends goût aux thrillers...
RépondreSupprimerMince ! Il est reparti à G. Voir avec I. si elle peut le garder encore un peu... Sinon, oui ce serait sympa d'avoir ton avis. Je me demande ce que ce bouquin donnerait porté à l'écran. Parce que dans le bouquin, malgré les horreurs qu'il commet, Joë ne m'est jamais apparu comme un "sale type" ( et pourtant il est même plus que ça...) Allez je ne t'en dis pas plus parce que sinon ce ne sera plus la peine que tu le lises.
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