jeudi 23 février 2012

Delirium de Lauren Oliver




Auteur : Lauren Oliver

nb de pages : 402

Série : Delirium

Catégorie : S-F






Résumé officiel 
Lena vit dans un monde où l’amour est considéré comme le plus grand des maux. Un monde où tous les adultes de 18 ans subissent une opération du cerveau pour en être guéris. A quelques mois de subir à son tour « la Procédure », Lena fait une rencontre inattendue… Peu à peu elle découvre l’amour et comprend, comme sa mère avant elle, qu’il n’y a pas de plus grande liberté que laisser parler ses sentiments. Même si cela implique de quitter ses certitudes… « Ils prétendent qu’en guérissant de l’amour nous serons heureux et à l’abri du danger éternellement. Je les ai toujours crus. Jusqu’à maintenant. Maintenant, tout a changé. Maintenant, je préférerais être contaminée par l’amour ne serait-ce qu’une seconde plutôt que vivre un siècle étouffée par ce mensonge. »

Extrait de mon avis

Lena, 17 ans, vit à Portland (Etats-Unis) et suit une scolarité normale en attendant sa Procédure. C’est une sorte de cure/traitement destiné à lui éviter le Délirium (désolée, je n’ai pas les termes Français, ayant lu ce livre en Anglais). Car, dans l’univers de Léna, la pathologie la plus grave est tout simplement l’amour. Lena n’a rien de spécial. Elle n’est pas extraordinairement belle, ni riche, ni supra intelligente. Elle aspire juste à une vie normale dans son monde et craint d’être porteuse de cette maladie de l’amour, comme sa mère et sa sœur… Rien de bien émouvant là dedans, mais bien sûr, ce ne sont que les bases de l’histoire. 

[...]

Si j’ai bien aimé l’ensemble du livre, j’ai trouvé le début un peu lent, un peu pesant, aussi. Je voyais bien où l’auteur nous entraînait, avec une rencontre faisant basculer Lena (une évidence) mais cela tardait à se mettre ne place. J’ai craint un instant de relire une histoire similaire à Uglies avec l’amie de Lena, Hana qui semble plus « libre » plus ouverte… et qui remet en question le monde où elles vivent, passant outre le couvre feu, par exemple. Il y a d’ailleurs une allusion à Uglies et Pretty ne serait-ce que dans les deux termes cités tels quels dans le livre.

[...]

Une découverte intéressante, même si le début m'a paru un peu lent. J'ai adoré la fin, triste et dramatique...

Lien vers l'article complet sur mon blog -  N°9 dans le challenge ABC 2012



Ma notation




B = Bon tout simplement... 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de laisser des commentaires constructifs, afin de créer une discussion, un échange sur les livres présentés. Bonne journée, nanet