Auteur : Bram STOKER
nb de pages : 582 pages
Série : non
Catégorie : fantastique
nb de pages : 582 pages
Série : non
Catégorie : fantastique
Résumé officiel ou personnel
Jonathan Harker, clerc de notaire, part pour la Transylvanie afin de règler une affaire avec le comte Dracula. Mais dès son arrivée, des choses étranges se produisent au château du comte. Quand soudain, la vérité apparaît à Jonathan : Dracula est un vampire.
Mon avis
L'histoire en elle-même est très attrayante et sympathique à suivre, même si certains passages sont à rallonge. Le choix du roman épistolaire semblait une idée plutôt ingénieuse mais j'ai eu du mal à accrocher à tous ces journaux qui se croisaient, s'entremêlaient. Difficile de suivre parmi toute une galerie de personnages aux tons semblables, poursuivant les mêmes buts.
L'histoire en elle-même est très attrayante et sympathique à suivre, même si certains passages sont à rallonge. Le choix du roman épistolaire semblait une idée plutôt ingénieuse mais j'ai eu du mal à accrocher à tous ces journaux qui se croisaient, s'entremêlaient. Difficile de suivre parmi toute une galerie de personnages aux tons semblables, poursuivant les mêmes buts.
Justement, ces personnages. L'auteur ne les décrit pas assez ( difficile dans un roman épistolaire, à vrai dire ). Il ne s'intéresse pas assez à chacun d'eux, selon moi. Alors que le roman s'appelle Dracula, le comte en est, paradoxalement, assez absent. Tout comme Mina, au final, qui n'a pas vraiment la même place que dans le film. Mauvaise idée d'avoir vu le film avant ou non ? That is the question !
Bram STOKER ne réussit pas vraiment à m'emballer, même si les journaux se lisent facilement. J'ai trouvé l'histoire sans saveur, sans grand intérêt en fait. Pas vraiment de quoi en faire un livre. Alors que je restais persuadée que l'histoire de Dracula était avant tout celle d'un amour impossible entre une mortelle et un vampire, il n'en est rien ici. Il s'agit plutôt de l'amour inflexible entre une femme et son mari.
Tout cela fait que j'ai fini par traîner des pieds pour lire les dernières pages. Je me suis même demandée si je n'avais pas loupé des passages ou si mon esprit n'avait pas fini par vagabonder ailleurs à certains moments parce que je n'ai pas l'impression d'avoir assister à une scène où Dracula se rendait compte que Mina était le portrait craché de son amour perdu.
Pas vraiment une bonne lecture. Pas un ennui profond non plus. Tout simplement une histoire qui ne me parle pas.
Pour quelques indications en plus sur mon blog c'est ICI - N° 1 dans le challenge ABC 2012
Ma notation
E comme Echec de lecture
Une grande déception à la clé !
Aaaah Dracula, j'essaie désespérément de le terminer! Je ne dirais pas que c'est une déception ; mais tout suspens est écarté par le fait que le livre est devenu un grand classique de la littérature et du cinéma, donc tout effet de surprise tombe à l'eau (kuwa? Dracula? UN VAMPIRE?). Par contre je ne suis pas aussi déçue que toi pour le moment :) Je trouve le style emprunt du grand romantisme de la fin du XIXème. Peut-être n'es-tu pas tombée sur une bonne traduction?
RépondreSupprimerQuant au style épistolaire à rallonge, il vient du fait que le roman a été publié par épisodes dans un journal, et que Bram Stoker était payé au mot. Donc bon. ^^
Enfin je dirai plus ce que j'en ai pensé quand je l'aurais terminé, sur mon blog! :D