Auteur : Patrick Süskind
nb de pages : 279 pages
Série : Le Parfum
Catégorie : Drame
Résumé officiel ou personnel
Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque.
Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements et son âme n'avait besoin de rien. Or, ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bien d'un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde, et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout puissant de l'univers, car " qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le coeur des hommes ".
C'est son histoire, abominable... et drolatique qui nous est racontée dans Le Parfum, un roman qui, dès sa parution, eut un succès extraordinaire et est devenu très vite un best-seller mondial.
Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements et son âme n'avait besoin de rien. Or, ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bien d'un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde, et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout puissant de l'univers, car " qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le coeur des hommes ".
C'est son histoire, abominable... et drolatique qui nous est racontée dans Le Parfum, un roman qui, dès sa parution, eut un succès extraordinaire et est devenu très vite un best-seller mondial.
Mon avis
Le Parfum… depuis maintenant quelques
années, il reposait bien sagement dans ma PAL, attendant son heure, et prenant
la poussière.
Pourtant, de nombreux éloges auraient dues
me pousser à le débuter. J’avais également vu l’adaptation cinématographie, un
bon film même si, pour moi, la fin tirait un peu vers un libertinage mal placé
qui n’avait rien avoir avec l’histoire… Peu engageant selon moi, et qui était l’une
des causes de mon rejet littéraire. Toutefois, les lecteurs que je rencontrais m’encourageaient,
et me rassuraient sur le point final du roman.
« Tu verras la fin n’est pas du tout la même. »
On-t-il réellement LU le livre ?
Parce que certes, cela ne dure pas aussi longtemps que dans le film, mais les
scènes sont belles et bien là. Assez choquantes (je ne suis pourtant pas très
prude) ; et macabres (concernant la dernière).
Mais effaçons cette fin étrange pour
nous concentrer sur le contenu du livre.
Lire la suite de mon avis - N° 16 dans le challenge ABC 2012
Ma notation
Un roman dévorant et envoutant.
J'avais bien aimé le film aussi, même si je n'ai as bien compris sa fin.
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