Auteur : John Steinbeck
nb de pages : 122
Catégorie : Classique
Résumé officiel
Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva le repli et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu'un neuf de mouette. C'était la plus grosse perle du monde.
nb de pages : 122
Catégorie : Classique
Résumé officiel
Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva le repli et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu'un neuf de mouette. C'était la plus grosse perle du monde.
Mon avis
Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est intense…
Steinbeck n’est pas vraiment coutumier des récits joyeux (les raisins de la colère, des souris et des hommes)…
A chaque découverte de Steinbeck , je me délecte de son style à chaque fois différent et en même temps ressemblant.
Je reste toutefois avec un goût amer dans la bouche de par le fatalisme de Steinbeck.
Le petit Coyotito se fait piquer par un scorpion et Juana prie pour qu'ils trouvent une perle permettant de payer les soins de l'enfant. Perle qu'ils trouvent et qui ne leur apporte ni la richesse, ni le bonheur espéré dans ses reflets...
Lien vers l'article sur mon blog - N° 11 dans le challenge ABC 2013
Ma notation
C = Correct ou Clapotant
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