Auteur : Élisabeth Ebory
nb de pages : 260
Série : one-shot
Catégorie : nouvelles fantastiques
Résumé officiel ou personnel
Écoutez : le chant des passeurs s’élève dans les nuits de neige.
Observez : une silhouette d’or s’échappe sur les grands boulevards.
Traversez les miroirs brisés ; bravez l’obscurité. Dans le crépuscule des villes amères, la brûlure de la colère est un sortilège de plus ; la magie de la nuit elle-même caresse l’âme des sorcières.
Saisissez les rubans noirs : l’encre trace le chemin à suivre. Sur le pas des enfers, à la lisière des grandes forêts de ténèbres, dans la cité de Féerie… quelqu’un attend. Et vous tend la main.
C’est une invitation qui ne promet rien qu’un voyage. Il commence à l’orée sombre d’un monde étrange. L’univers farouche des fées d’encre.
Observez : une silhouette d’or s’échappe sur les grands boulevards.
Traversez les miroirs brisés ; bravez l’obscurité. Dans le crépuscule des villes amères, la brûlure de la colère est un sortilège de plus ; la magie de la nuit elle-même caresse l’âme des sorcières.
Saisissez les rubans noirs : l’encre trace le chemin à suivre. Sur le pas des enfers, à la lisière des grandes forêts de ténèbres, dans la cité de Féerie… quelqu’un attend. Et vous tend la main.
C’est une invitation qui ne promet rien qu’un voyage. Il commence à l’orée sombre d’un monde étrange. L’univers farouche des fées d’encre.
Mon avis
Contrairement à ma camarade de blog, je n'ai pas trouvé le recueil
transcendant. Elle, elle s'était arrêtée à l'écriture et à la
symbolique. Quant à moi, ce qui m'a sauté aux yeux sont les chutes et
les thématiques. Même si l'urban fantasy essaie d'innover, j'ai
l'impression de revenir aux années 80. Voyage dans le temps qui ne m'a
pas réussi parce que j'ai une impression de stagnation et d'absence
d'évolution, contrairement aux nouvelles de Mélanie Fazi.
J'ai aussi trouvé dommage de ne pas avoir plus de figures dans ses nouvelles. le thème du double y est toujours présent mais trop souvent sous la même forme, au point d'en devenir lassant parfois. Il reste que son écriture est travaillée d'une manière particulière. On a pas du tout l'impression qu'elle décrit des ambiances parce qu'elle passe par d'autres chemins.
J'ai aussi trouvé dommage de ne pas avoir plus de figures dans ses nouvelles. le thème du double y est toujours présent mais trop souvent sous la même forme, au point d'en devenir lassant parfois. Il reste que son écriture est travaillée d'une manière particulière. On a pas du tout l'impression qu'elle décrit des ambiances parce qu'elle passe par d'autres chemins.
Un livre qui n'est tout simplement pas fait pour
moi, mais qui peut en ravir d'autres. Si vous allez sur des salons où
Griffe d'encre passe, n'hésitez pas à ouvrir ce recueil avant de
l'acheter.
Ma notation
C = Correct ou Clapotant
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